Hello guy !
Un petit message ici pour vous faire découvrir mes fan fic écrites (Notamment sur le monde de dofus (Peut-être du D.A à venir?)
Je tiens à préciser que mon second pseudo est Gareth, donc, si vous avez déjà lue une de mes histoires sur un autre forum, c'est tout à fait normal, mais je vous demanderais quand même de m'envoyer le lien par E-mail, histoire de voir si quelqu'un fait du plagiat
Pour commencer, voici ma première fan fic, c'était le Background de ma Fecatte du temps où je jouais sur le serveur Silvosse de Dofus :
Je suis Vehina.
Vehina, fille du forgeron dont la mémoire de l'île d'Otomaï a oublié le nom de famille et que je n'ai jamais connu. Je me souviens juste du grand feu de la forge, du martèlement incessant des marteaux, ainsi que du métal étincelant qui irradiait de lueurs ensorcelantes pour l'enfant que j'étais. Je me souviens des coup de bottes que j'ai reçu dans le séant que m'adressait celui qui était mon père lorsque je m'approchais trop de la forge ou des objets baignant dans la barrique d'eau qui crachait des volutes de fumée colorée.
Puis la misère et le chagrin lorsqu'une jeune femme en tunique grise est venu me trouver et m’a prise par la main pour me guider vers la chapelle voisine. Je n’ai plus jamais revus mon père. Il était mort, les membres déchirés, par une horde de brakmâriens assoiffés de sang. Les gardes de la contrée n’avaient retrouvé que son torse à demi calciné dans la forge. C’est en ces termes que l’on ma décrit la mort de mon père.
Pendant de longues années, j’ai grandi avec la femme qui m’avait conduit aux funérailles de mon père. Elle s’appelait Eva. Cette femme était la plus gentille des femmes que j’ai connues. Je tiens surement ce trait de caractère de cette dernière, bien qu’elle ne soit pas ma mère. Je m’appliquai chaque jour à obéir aux ordres des servants de cette femme riche, bien que ses corvées ne m’inspiraient guère. La teneur et la nature harassantes de ses tâches me faisait oublier peu à peu que je n’avais ni passé, ni avenir … Je ne vivais qu’au jour le jour, balayant la paillote, lustrant le mobiliers de ma nouvelle « mère » grâce à des chiffons ..., ayant sans doute retiré dix fois tous les ouvrages que contient la bibliothèque des Neveran, car c’était des ouvrages de la famille d’Eva, pour les épousseter, un à un, les apporter à réparer au relieur ambulant qui passait régulièrement dans mon nouveau village, près de la plage de l’île d’Otomaï.
Je menais une vie bien rangée, et sans rêve d’une gamine de mon âge.
Mais le destin allait me rattraper.
C’était un été digne des pires chaleurs du désert, disaient les servants. Nous avions ouvert toutes les fenêtres, et tout ce qui pouvait amené ne serait-ce qu’un peu d’air frais dans notre humble demeure. Quand soudain, un voyageur vêtu d’une cape grisâtre et d’une capuche noir se dirigea vers la maison. Il était couvert de sang et il boitillait. N’écoutant que mon courage, je courus voir s’il avait besoin d’assistance. Il s’effondra devant moi. Je l’emmenais dans ma chambre et l’allongeait sur mon matelas, afin de lui prodiguer les soins dont il avait besoin.
Durant deux semaines, je lui apportais à manger en cachette, car si Eva l’aurait vue, elle m’aurait sévèrement punie pour avoir nourrit un étranger et lui avoir donné une couchette, qui plus est la mienne. Quand un jour, il se réveilla. Il posa son regard sur moi et sur les bandages ensanglanté qui reposait dans la poubelle à côté. Il s’assit doucement sur le bord du lit, et me regarda fixement dans les yeux. Cet examen me fit rougir. C’était la première fois que quelqu’un me portait une quelconque attention. Il approcha sa main de mon visage et le caressa.
_Merci du fond du cœur, jeune demoiselle. Sans vous je serais sans doute mort à l’heure qu’il est.
Rougissant de plus belle, je ne savais que lui répondre à part que c’était mon devoir de secourir un homme blessé, et de le protéger. L’homme me regarda et me dit :
_As-tu déjà pensé à quitter ton foyer pour partir à l’aventure ?
Je le regardais, d’un œil interrogateur. Je ne comprenais pas la signification du mot « aventure ».
_Pouvez-vous me dire ce que cela signifie ? Balbutia-t-elle.
_Eh bien, partir à l’aventure, c’est combattre, rencontrer des gens, choisir une citée à défendre. Peut-être qui si tu pars avec moi, tu pourras prendre un époux …
Je le regardait avec de grands yeux.
_Mais, je ne sais pas combattre …
_Tout le monde a une âme de guerrier dissimulé au fond de lui. Elle est différente pour tout le monde. C’est comme le caractère d’une personne.
_Eh bien ... Il faudra en parler avec Eva, mais si elle vous voit, elle va me réprimander de vous avoir soigné …
_Ne t’en fais pas, je me charge de tout. Puis-je connaître ton nom, jeune demoiselle ?
_Je me nomme Vehina, et vous ?
_Appelle moi Nillem.
Sur ces mots, Nillem partit voir Eva pour lui expliquer ce qu’il c’était passé ses derniers temps.
Les choses suivantes ne ce sont pas déroulées comme je le prévoyais. Eva ne m’as même pas disputées. J’étais très étonnée. Quelques journées passèrent sans que j’aperçoive Nillem. Il était sans doute repartit, sans songer plus que ça à moi. Je faisais mes corvées, comme toujours, en espérant que Nillem reviendrais vers moi. Un jours de pluie et de vent, alors que j'écoutait le bruissement magique de ce dernier passer sur les dalles de pierres et sous les portes, Nillem arriva. Il ouvrit la porte et s'approcha de moi. Il portait mes bagages dans ses mains, dans un petit sac à dos. Il me dit alors :
_Il ne tiens plus qu’à toi la décision de me suivre. Je te formerais afin que ta croyance envers la déesse Feca soit immense, et que tu deviennes une maîtresse de la guilde des protecteurs.
Je sautais dans ses bras les yeux en larmes. Il ne m’avais pas oublié. C'était bel et bien la seule personne à s'être autant souciée de moi depuis ... Depuis un temps oublié.
Dès lors, j'arpente les chemins de la voie des disciples de Feca, d’abord avec Nillem en tant que tuteur, puis seule, ou encore avec des amis … Du moins avant que ces derniers ne s’enrôlent dans la milice de Bonta, comme l’avait fait mon père … Ce qui leurs avaient tous valu la mort … Sauf à l'un d'entre eux.
Vouala' :]
Ps : Si vous trouvez des fautes, j'ai fais deux relectures donc bon, j'peux pas faire mieux x)
Un petit message ici pour vous faire découvrir mes fan fic écrites (Notamment sur le monde de dofus (Peut-être du D.A à venir?)
Je tiens à préciser que mon second pseudo est Gareth, donc, si vous avez déjà lue une de mes histoires sur un autre forum, c'est tout à fait normal, mais je vous demanderais quand même de m'envoyer le lien par E-mail, histoire de voir si quelqu'un fait du plagiat
Pour commencer, voici ma première fan fic, c'était le Background de ma Fecatte du temps où je jouais sur le serveur Silvosse de Dofus :
Je suis Vehina.
Vehina, fille du forgeron dont la mémoire de l'île d'Otomaï a oublié le nom de famille et que je n'ai jamais connu. Je me souviens juste du grand feu de la forge, du martèlement incessant des marteaux, ainsi que du métal étincelant qui irradiait de lueurs ensorcelantes pour l'enfant que j'étais. Je me souviens des coup de bottes que j'ai reçu dans le séant que m'adressait celui qui était mon père lorsque je m'approchais trop de la forge ou des objets baignant dans la barrique d'eau qui crachait des volutes de fumée colorée.
Puis la misère et le chagrin lorsqu'une jeune femme en tunique grise est venu me trouver et m’a prise par la main pour me guider vers la chapelle voisine. Je n’ai plus jamais revus mon père. Il était mort, les membres déchirés, par une horde de brakmâriens assoiffés de sang. Les gardes de la contrée n’avaient retrouvé que son torse à demi calciné dans la forge. C’est en ces termes que l’on ma décrit la mort de mon père.
Pendant de longues années, j’ai grandi avec la femme qui m’avait conduit aux funérailles de mon père. Elle s’appelait Eva. Cette femme était la plus gentille des femmes que j’ai connues. Je tiens surement ce trait de caractère de cette dernière, bien qu’elle ne soit pas ma mère. Je m’appliquai chaque jour à obéir aux ordres des servants de cette femme riche, bien que ses corvées ne m’inspiraient guère. La teneur et la nature harassantes de ses tâches me faisait oublier peu à peu que je n’avais ni passé, ni avenir … Je ne vivais qu’au jour le jour, balayant la paillote, lustrant le mobiliers de ma nouvelle « mère » grâce à des chiffons ..., ayant sans doute retiré dix fois tous les ouvrages que contient la bibliothèque des Neveran, car c’était des ouvrages de la famille d’Eva, pour les épousseter, un à un, les apporter à réparer au relieur ambulant qui passait régulièrement dans mon nouveau village, près de la plage de l’île d’Otomaï.
Je menais une vie bien rangée, et sans rêve d’une gamine de mon âge.
Mais le destin allait me rattraper.
C’était un été digne des pires chaleurs du désert, disaient les servants. Nous avions ouvert toutes les fenêtres, et tout ce qui pouvait amené ne serait-ce qu’un peu d’air frais dans notre humble demeure. Quand soudain, un voyageur vêtu d’une cape grisâtre et d’une capuche noir se dirigea vers la maison. Il était couvert de sang et il boitillait. N’écoutant que mon courage, je courus voir s’il avait besoin d’assistance. Il s’effondra devant moi. Je l’emmenais dans ma chambre et l’allongeait sur mon matelas, afin de lui prodiguer les soins dont il avait besoin.
Durant deux semaines, je lui apportais à manger en cachette, car si Eva l’aurait vue, elle m’aurait sévèrement punie pour avoir nourrit un étranger et lui avoir donné une couchette, qui plus est la mienne. Quand un jour, il se réveilla. Il posa son regard sur moi et sur les bandages ensanglanté qui reposait dans la poubelle à côté. Il s’assit doucement sur le bord du lit, et me regarda fixement dans les yeux. Cet examen me fit rougir. C’était la première fois que quelqu’un me portait une quelconque attention. Il approcha sa main de mon visage et le caressa.
_Merci du fond du cœur, jeune demoiselle. Sans vous je serais sans doute mort à l’heure qu’il est.
Rougissant de plus belle, je ne savais que lui répondre à part que c’était mon devoir de secourir un homme blessé, et de le protéger. L’homme me regarda et me dit :
_As-tu déjà pensé à quitter ton foyer pour partir à l’aventure ?
Je le regardais, d’un œil interrogateur. Je ne comprenais pas la signification du mot « aventure ».
_Pouvez-vous me dire ce que cela signifie ? Balbutia-t-elle.
_Eh bien, partir à l’aventure, c’est combattre, rencontrer des gens, choisir une citée à défendre. Peut-être qui si tu pars avec moi, tu pourras prendre un époux …
Je le regardait avec de grands yeux.
_Mais, je ne sais pas combattre …
_Tout le monde a une âme de guerrier dissimulé au fond de lui. Elle est différente pour tout le monde. C’est comme le caractère d’une personne.
_Eh bien ... Il faudra en parler avec Eva, mais si elle vous voit, elle va me réprimander de vous avoir soigné …
_Ne t’en fais pas, je me charge de tout. Puis-je connaître ton nom, jeune demoiselle ?
_Je me nomme Vehina, et vous ?
_Appelle moi Nillem.
Sur ces mots, Nillem partit voir Eva pour lui expliquer ce qu’il c’était passé ses derniers temps.
Les choses suivantes ne ce sont pas déroulées comme je le prévoyais. Eva ne m’as même pas disputées. J’étais très étonnée. Quelques journées passèrent sans que j’aperçoive Nillem. Il était sans doute repartit, sans songer plus que ça à moi. Je faisais mes corvées, comme toujours, en espérant que Nillem reviendrais vers moi. Un jours de pluie et de vent, alors que j'écoutait le bruissement magique de ce dernier passer sur les dalles de pierres et sous les portes, Nillem arriva. Il ouvrit la porte et s'approcha de moi. Il portait mes bagages dans ses mains, dans un petit sac à dos. Il me dit alors :
_Il ne tiens plus qu’à toi la décision de me suivre. Je te formerais afin que ta croyance envers la déesse Feca soit immense, et que tu deviennes une maîtresse de la guilde des protecteurs.
Je sautais dans ses bras les yeux en larmes. Il ne m’avais pas oublié. C'était bel et bien la seule personne à s'être autant souciée de moi depuis ... Depuis un temps oublié.
Dès lors, j'arpente les chemins de la voie des disciples de Feca, d’abord avec Nillem en tant que tuteur, puis seule, ou encore avec des amis … Du moins avant que ces derniers ne s’enrôlent dans la milice de Bonta, comme l’avait fait mon père … Ce qui leurs avaient tous valu la mort … Sauf à l'un d'entre eux.
Vouala' :]
Ps : Si vous trouvez des fautes, j'ai fais deux relectures donc bon, j'peux pas faire mieux x)