Je fait plusieurs poèmes sur différents sujets sur le monde de Dofus, si vous voulez, devinez quels sont ces thèmes:
1er thème:
-Dans un siecle lointain,
Vivez de gentils lapins
Ils furent chassé de Amakna
Et fuir par la bas
Ils decouvrirent une terre
Et s'y réfugièrent
Des cawottes cultivé
En voila une belle idée
Depuis ce temps
Les wabbits sont content
De manger de bon légume
Qui n'ont aucune amertume
-Sautillantes créatures
Et joyeux mangeurs de cawottes
Ces animaux sauront à coup sûr
Inspirer les musiques les plus sottes
Comme les poèmes les plus mûrs.
Ils sont parfois compagnons
De bon nombre d'aventuriers
Et aident a mettre de solides gnons
Dans la tête des monstres malmenés
De wabbit, qui n'en a jamais mangé ?
Bon, léger, simple à cuisiner
C'est vraiment une denrée utile
Surtout venus d'un sol fertile
Leur roi est coiffé d'une belle coiffe d'or
Et commande son peuple d'une main de fer
Hélas, il subit souvent les nombreux sorts
De voyageurs égarés ou de guerriers partis prendre l'air
Pauvre peuple et pauvre souverain
Dans nos mémoires à jamais ils resteront
Comme les inspirateurs d'alexandrins.
-Wabbit's tels ne sont pas quatres voleurs de divers poules
Intrépides civets de potence de kawot's se bourrent la panse
Wabbit wabbit ou w'habites tu?
Dans un chateau wa ou ils font bombance
Lieu étrange ou les bug's sont bannis
Ou nous sergent pépéres entrons dans la danse
Et pour un dofus sommes en transe
Wabbit wabbit ou es tu?
Pourquoi encore m'avoir posé un lapin?
2ème thème :
-Le zaap: toute une histoire.
Ca remonte à y'a pas tard
Parcequ'avant c'etait une tare
De courrir jusqu'a brakmar,
Maintenant, c'est différent,
Plus besoin de reprendre le volant,
On peut donc se saouler violemment
Et melanger avec des medicaments !
Ca fait plaisir
De plus courir
Et de rentrer chez soi
Avec une belle gueule de bois !
-Portails bleus animés de magie
Ce sont pour les aventuriers de précieux amis
Que ce soit à mille mondes ou a mille lieux
Avec les zaaps, on va où on veut
Garants de trêve et de paix
Près d'eux, se battre est défendu
D'une magie inconnue ils sont faits
Allez savoir qui les a conçus...
Un peu cupides, dans le fond
Pour y passer il faut des kamas
Certes peu, mais celui nuit à leur réputation
Malgré tout, les zaaps, pourquoi pas?
-Loin à travers ce monde
Quand nos rêves nous inondes
Nous traversons ces cercles bleu
Qui nous rend heureux, de voir ça de nos yeux
Nous y sommes enfin
Dans cette immensité sans fin
Et c'est tellement calme et paisible
Que l'on efface les temps pénibles
Et nous donne la nostalgie d'une vue
Petit à petit nous fermons les yeux
Nous imaginons le monde des cieux
Mais quand tout cela se finit
Nous sortons tranquillement de se rêve eveillé
On oublie pas cette triste réalité
Remercionsles dieux d'avoir créer les zaaps
Et continuons à nous téléporter
Avant qu'ils nous frappent
Car ceci n'est qu'une vérité
Que nous ne pouvons esquiver.
-Rond et bleu: le zaap.
Prend gard aventurier
Si tu t'emmêle les pieds
Dans la nappe
Sans prévenir,
Avec ta dinde
Il te happe.
Il ne va pas te nuire
Mais peut être t'envoyer en Inde
Ou sur la Lune.
3ème et dernier thème:
-Dis moi Francisque"
Francisque Francisque francisque
Avec toi nous devons faire un disque...
Mais tu n'aurais pas perdu la boule ?
Avec toi j'aurai l'air d'une moumoule...
Dans le merveilleux monde des douze
nous allons accueillir deux nouvelles tantouzes...
Avec eux nous allons devoir satisfaire
Notre soif d'aventure trop précaire...
Francisque Francisque francisque
-Des mots alignés
En rimes improvisées
Les sons d'une mélodie
Rythmée de mélancolie
Le tam tam si doux
Des émotions flous
Une chanson, un hymne
Unissant les anonymes
Devant les frasques
De nos vies lasses
Chasser un espoir
Assise dans le noir
Ta musique m'emporte
Vers un infini
Et à chaque note
Mon chemin je poursuis
-Francisque Kabroule,
Grand chanteur de tout les temps,
Avec lui les rimes roulent,
Et son chant domine tout les vents.
Mon humble personne ne le connait point,
Son nom nous est soufflé,
Par de là les contrées,
Mais il a un drôle de personnage dans un coin.
Quand il prétend chanter,
J’ai l’impression de le ciel va s’écrouler,
Et plus il est entouré,
Plus le supplice dure une éternité.
Et c’est ainsi les tympans percés,
Par cet hurluberlu, que ce poème je vous ai conté.
Voilà,
Poétiquement, Kin'