Fan fic by Adurnam (& other?)

Hello guy !

Un petit message ici pour vous faire découvrir mes fan fic écrites (Notamment sur le monde de dofus (Peut-être du D.A à venir?)

Je tiens à préciser que mon second pseudo est Gareth, donc, si vous avez déjà lue une de mes histoires sur un autre forum, c'est tout à fait normal, mais je vous demanderais quand même de m'envoyer le lien par E-mail, histoire de voir si quelqu'un fait du plagiat

Pour commencer, voici ma première fan fic, c'était le Background de ma Fecatte du temps où je jouais sur le serveur Silvosse de Dofus :

Je suis Vehina.
Vehina, fille du forgeron dont la mémoire de l'île d'Otomaï a oublié le nom de famille et que je n'ai jamais connu. Je me souviens juste du grand feu de la forge, du martèlement incessant des marteaux, ainsi que du métal étincelant qui irradiait de lueurs ensorcelantes pour l'enfant que j'étais. Je me souviens des coup de bottes que j'ai reçu dans le séant que m'adressait celui qui était mon père lorsque je m'approchais trop de la forge ou des objets baignant dans la barrique d'eau qui crachait des volutes de fumée colorée.

Puis la misère et le chagrin lorsqu'une jeune femme en tunique grise est venu me trouver et m’a prise par la main pour me guider vers la chapelle voisine. Je n’ai plus jamais revus mon père. Il était mort, les membres déchirés, par une horde de brakmâriens assoiffés de sang. Les gardes de la contrée n’avaient retrouvé que son torse à demi calciné dans la forge. C’est en ces termes que l’on ma décrit la mort de mon père.

Pendant de longues années, j’ai grandi avec la femme qui m’avait conduit aux funérailles de mon père. Elle s’appelait Eva. Cette femme était la plus gentille des femmes que j’ai connues. Je tiens surement ce trait de caractère de cette dernière, bien qu’elle ne soit pas ma mère. Je m’appliquai chaque jour à obéir aux ordres des servants de cette femme riche, bien que ses corvées ne m’inspiraient guère. La teneur et la nature harassantes de ses tâches me faisait oublier peu à peu que je n’avais ni passé, ni avenir … Je ne vivais qu’au jour le jour, balayant la paillote, lustrant le mobiliers de ma nouvelle « mère » grâce à des chiffons ..., ayant sans doute retiré dix fois tous les ouvrages que contient la bibliothèque des Neveran, car c’était des ouvrages de la famille d’Eva, pour les épousseter, un à un, les apporter à réparer au relieur ambulant qui passait régulièrement dans mon nouveau village, près de la plage de l’île d’Otomaï.
Je menais une vie bien rangée, et sans rêve d’une gamine de mon âge.

Mais le destin allait me rattraper.

C’était un été digne des pires chaleurs du désert, disaient les servants. Nous avions ouvert toutes les fenêtres, et tout ce qui pouvait amené ne serait-ce qu’un peu d’air frais dans notre humble demeure. Quand soudain, un voyageur vêtu d’une cape grisâtre et d’une capuche noir se dirigea vers la maison. Il était couvert de sang et il boitillait. N’écoutant que mon courage, je courus voir s’il avait besoin d’assistance. Il s’effondra devant moi. Je l’emmenais dans ma chambre et l’allongeait sur mon matelas, afin de lui prodiguer les soins dont il avait besoin.

Durant deux semaines, je lui apportais à manger en cachette, car si Eva l’aurait vue, elle m’aurait sévèrement punie pour avoir nourrit un étranger et lui avoir donné une couchette, qui plus est la mienne. Quand un jour, il se réveilla. Il posa son regard sur moi et sur les bandages ensanglanté qui reposait dans la poubelle à côté. Il s’assit doucement sur le bord du lit, et me regarda fixement dans les yeux. Cet examen me fit rougir. C’était la première fois que quelqu’un me portait une quelconque attention. Il approcha sa main de mon visage et le caressa.
_Merci du fond du cœur, jeune demoiselle. Sans vous je serais sans doute mort à l’heure qu’il est.

Rougissant de plus belle, je ne savais que lui répondre à part que c’était mon devoir de secourir un homme blessé, et de le protéger. L’homme me regarda et me dit :
_As-tu déjà pensé à quitter ton foyer pour partir à l’aventure ?

Je le regardais, d’un œil interrogateur. Je ne comprenais pas la signification du mot « aventure ».
_Pouvez-vous me dire ce que cela signifie ? Balbutia-t-elle.
_Eh bien, partir à l’aventure, c’est combattre, rencontrer des gens, choisir une citée à défendre. Peut-être qui si tu pars avec moi, tu pourras prendre un époux …

Je le regardait avec de grands yeux.
_Mais, je ne sais pas combattre …
_Tout le monde a une âme de guerrier dissimulé au fond de lui. Elle est différente pour tout le monde. C’est comme le caractère d’une personne.
_Eh bien ... Il faudra en parler avec Eva, mais si elle vous voit, elle va me réprimander de vous avoir soigné …
_Ne t’en fais pas, je me charge de tout. Puis-je connaître ton nom, jeune demoiselle ?
_Je me nomme Vehina, et vous ?
_Appelle moi Nillem.

Sur ces mots, Nillem partit voir Eva pour lui expliquer ce qu’il c’était passé ses derniers temps.

Les choses suivantes ne ce sont pas déroulées comme je le prévoyais. Eva ne m’as même pas disputées. J’étais très étonnée. Quelques journées passèrent sans que j’aperçoive Nillem. Il était sans doute repartit, sans songer plus que ça à moi. Je faisais mes corvées, comme toujours, en espérant que Nillem reviendrais vers moi. Un jours de pluie et de vent, alors que j'écoutait le bruissement magique de ce dernier passer sur les dalles de pierres et sous les portes, Nillem arriva. Il ouvrit la porte et s'approcha de moi. Il portait mes bagages dans ses mains, dans un petit sac à dos. Il me dit alors :
_Il ne tiens plus qu’à toi la décision de me suivre. Je te formerais afin que ta croyance envers la déesse Feca soit immense, et que tu deviennes une maîtresse de la guilde des protecteurs.
Je sautais dans ses bras les yeux en larmes. Il ne m’avais pas oublié. C'était bel et bien la seule personne à s'être autant souciée de moi depuis ... Depuis un temps oublié.

Dès lors, j'arpente les chemins de la voie des disciples de Feca, d’abord avec Nillem en tant que tuteur, puis seule, ou encore avec des amis … Du moins avant que ces derniers ne s’enrôlent dans la milice de Bonta, comme l’avait fait mon père … Ce qui leurs avaient tous valu la mort … Sauf à l'un d'entre eux.


Vouala' :]

Ps : Si vous trouvez des fautes, j'ai fais deux relectures donc bon, j'peux pas faire mieux x)

je lirai plus tard j'ai juste lu les 1ere ligne voir si je trouvai des fautes et effectivement il y en a mdr (je sais je suis chieur)

on ne met pas de E à lue

fille féminin, mémoire féminin, l'île d'otomai féminin, alors c'est oubliée =) (car même si tu savais pas a qui était destiné le verbe y'a pa un seul masculin la)

voila XD

J'ai une excuse ! C'est une de mes premières fics :O
(Comment ça c'est une excuse pourrie?!!!)

Enlala si ce n'est pas du Yaoi ou du Yuri je ne lis pas u.u

Bon je lirais ça quand je serais moin fatiguée, 11h de route, j'suis morte x.x

Je tape pas dans ce genre de fic, désolé
Mais ... ça peut s'négocier à deux ! /me part crever :]

Bon, j'ai rien à faire ce soir, j'vais p'tètre me mettre à écrire quelque chose ... Mais j'ai pas de thème en tête ... Donc, si quelqu'un a un thème pour moi (Sauf ce que la mam'zelle a cité bien sur), j'suis preneur :]

Un Future Geek , Qui apprend les Jeux Video O: .

Les jeux vidéos ça s'apprend pas, on a ça dans l'sang oohpah 'o'
Et en plus, v'la l'histoire passionnante que ça va faire .. xD

T'nul alors. *Joke*

Sinon tu pourrai raconter Hmmm..j'en est plein mais que tu n'aimerai pas ^^ .

Hop la, another fan fic by Adurnam !

Celle ci est longue et pas encore complête, mais la suite arriveras sous peu ! Je vous laisse donc avec l'intro et le premier chapitre

Intro :

"Depuis trois siècles, les hommes vivent en paix, exerçant plusieurs professions afin de subvenir à leurs besoins quotidiens, sans se soucier du monde qui les entoures. En effet, ces hommes futiles et sourd n'entendent pas les paroles des Dieux, leur soufflant de leur douce voix des paroles mélodieuses teintées de mystères et de vérités. Moi, je les entends...

Et aujourd'hui, elles me soufflent que votre vie de paysan est finie. Elle me souffle qu'après avoir réalisé la quête que je vais vous transmettre, vous deviendrez riche, valeureux et toutes les femmes et les hommes n'auront d'yeux que pour vous. Vous serez l'homme le plus riche sur cette terre, mais pas que ça. Suite à cette quête dont vous reviendrez victorieux, vous aurez accompli la Prophétie des dieux, vous rendant aux yeux des autres des hommes et femmes courageux. Des hommes et femmes prêts à tout pour vivre. Des hommes et femmes prêts à tout pour gagner. Alors, venez. Venez me rejoindre dans mon antre de la forêt des Abraknydes. Je vous attendrais, avec un avant goût de la richesse que vous pourrez obtenir. Afin de me rejoindre, adressez vous à la personne portant une cape noire où le motif d'un crâne empalé par une épée est inscrit."

Tels étaient les mots inscris sur le parchemin que je venais d'accrocher sur un mur de la taverne d'Astrub, citée des mercenaire, mais aussi citée commerçante. Je reculais, relisant une dernière fois les entrelacs de phrases fassent à moi, pour me retourner et sortir, ma cape ondoyante derrière moi, laissant apparaître le motif décris sur le message. À peine avais-je franchis la porte à double battant de l'auberge qu'un individu à la chevelure flamboyant m'interpella en me disant :

"Salut, c'est par où la cabane de la vielle?"

CHAPITRE I : Le commencement d'un long périple.

La nuit venait de tomber sur la ville d'Astrub et j'étais stupéfaite face à l'ampleur du message. Des centaines de personnes se massaient face à moi, attendant que je leur donne l'indication qu'ils étaient tous venus entendre, ou presque. La foule était principalement composée d'aventurier téméraires, mais on pouvait apercevoir quelques citadins, curieux du rassemblement opérés sur la petite place près du zaap. Je me levais de ma chaise et sortait de la taverne. La majorité des regards se tournaient alors vers moi, m'arrachant un faible sourire.

Je me dirigeais vers un amoncellement de caisses, afin de m'y poster et d'entamer mon discours. Ce que je fis sans attendre, après un bâillement insistant :

"Bonsoir à tous. Je n'vais pas perdre mon temps à vous annoncer de nouveau le but de votre présence ici, j'ai pas qu'ça à faire. Donc, pour ceux qui veulent vraiment s'investir dans une quête du genre, vous m'suivez, j'vous montre le chemin, et je retourne dans mon coin toute seule. Pour les autres, vous pouvez dors et déjà partir, j'ai pas besoin de vous."

Sans plus attendre, la jeune femme descendit de son perchoir, abandonnant son rôle de héraut, le remplaçant par son rôle de chaperon. En effet, son second rôle consistait à guider la présumée petite troupe d'aventurier, malgré le fait qu'elle atteigne plus de mille personnes à vue de nez. En bref, elle traça sa route en direction de la cabane de sa vielle grand-mère, sans se retourner.

Après de longues heures de marche fastidieuse, l'énorme troupe bruyante derrière moi, nous arrivons chez la vielle, qui nous attendait assise sur son siège en racine d'abraknyde. Cette vielle chose de plus d'un siècle se leva en voyant approcher les aventuriers, un large sourire illuminant ses lèvres, lui donnant un air sinistre. En effet, ses yeux exorbités et son long nez aquilin n'arrangeaient rien du tout. Son air sadique lança un froid sur la troupe qui semblait plutôt joyeuse depuis leur départ, si bien qu'aucun d'eux ne continua à proférer d'injures envers leurs futures ennemis, ou encore à déblatérer de choses futiles tel que le temps du lendemain. La vielle femme inspirait à la fois une notion de respect, mais aussi de crainte.



« Jeunes enfants ... , commença-t-elle, d'une voix esquintée par l'alcool et l'âge. Si vous êtes ici ce soir, c'est parce que vous avez été choisis par les Dieux eux-même pour mener à bien une quête qui vous rendra riche et reconnus par tout le peuple. Je sais déjà que vous êtes mille six cents vingt-quatre, car je l'avais prédis bien avant votre arrivée et il y a de cela bien des années. Vous pouvez me prendre pour une vielle mégère, ce que je suis d'ailleurs. » Fit-elle, avec une pointe d'ironie, faisant rire quelques personnes du groupe. La vielle femme usée par les ans continua son récit, avec un visage cette fois plus sérieux :



« Si vous êtes ici, c'est parce que j'ai besoin de vous pour accomplir une quête. La quête de l'oracle. En effet, votre but sera de chercher sept pièces d'un oracle, qui nous révèlera la position d'un des plus grands trésors que le monde des douze ait connu. On dit qu'il a plusieurs centaines d'années et qu'il a été créé en même temps que ce monde ... Mais tout d'abord, je vais organiser un tournoi et seuls les plus valeureux d'entre vous vont pouvoir espérer prétendre à cette quête. »

La foule se mit à huer la vielle femme, car elle ne comprenait pas pourquoi le tournoi avait lieu. En fait, il avait tout simplement été créé dans le but d'éviter au plus faible de mourir dès la capture du premier oracle ...


Edit : Chapitre I et Intro corrigé normalement

Ce chapitre est moins pointilleux que le précédent, car je l'ai écris en étant fatigué. J'éditerais et modifierais la plus part demain, mais je vous le laisse au cas où j'oublie 'o'

CHAPITRE II : Le berceau des Orodeths.

Après avoir expliqué une heure durant la raison qui la poussait à réaliser ce tournoi, Thuata, la vielle femme, désigna un terrain aux combattants ainsi qu'un tableau, comportant le nom de chacun. À vrai dire, elle savait déjà qui allait gagner, mais ses vielles années de combats lui manquaient, et voir des aventurier désireux de richesse se battre la rendant joviale à l'avance.

Le terrain fut vite aménagé par Ophélia, la petite fille de Thuata. Elle organisa aussi une sorte de tableau et distribua un numéros à chacun des six cents vingt-quatre combattants afin de voir qui allait affronter qui. L'espace de combat était large d'un hectare et demi, laissant place à environ vingt combats simultanés. Parmi les combattants, la vielle femme s'intéressait particulièrement aux futurs victorieux qu'elle connaissait déjà.

Parmi eux combattait fièrement un jeune disciple de Iop d'une vingtaine d'année, nommé Severance. Ce personnage dont la chevelure était flamboyante était la personne qui avait interpellée le premier Ophélia et il était aussi un des plus beaux combattants physiquement. Il possédait les vêtements classiques des disciple de son Dieu. Ses compétences étaient multiples ;en effet, en plus de manier son épée avec un talent inouï, il pouvait faire s'acharner les cieux sur une cible en provoquant d'énormes tempêtes. Il sortait vivant de tous ses combats, un a un, n'hésitant pas à oublier toute pitié face à ses ennemis. Ses yeux étaient de couleurs marrons clairs, ce qui était plutôt rare pour les disciple de Iop. Son « défaut », d'après ses frères, l'avait poussé à travailler sans relâche ses techniques de combat afin de se faire respecter tout de même.

Le deuxième combattant était un disciple de Sacrieur à la chevelure brune qu'il coiffait en bataille. Ses yeux d'un vert émeraude le faisait d'abord penser à un disciple de Crâ, mais les coups de pieds incessants qu'il donnait à ses ennemis leur faisaient vite changer d'avis ... Surtout lorsqu'il se faisait briser un tibia dès le premier assaut. Il était vêtu d'un simple pantalon de toile, déchiré à certains endroits et maculé de sang. Une large balafre saillante courrait de son épaule gauche jusqu'à sa taille, témoignant de son expérience du combat avec le style que sa Déesse lui avait appris.

Le combattant suivant était une femme nommée Natalia. Une des rares demoiselles ayant osées s'aventurer jusqu'ici pour empocher la récompense du combat. Elle servait Sram avec ferveur et n'hésitait pas à arnaquer ses ennemis en pleins combats, leur faisant les poches. La disciple de l'ombre avait néanmoins une préférence pour les morts douloureuses et préférait miner son terrain de piège et attendre, tapis dans l'ombre, laissant toujours un chemin de passage pour sa victime, rendant le jeu plus ... Distrayant.

Le quatrième élu se prénommait Alaska. C'était un Osamodas utilisant ses invocations ainsi que sa griffe spectral pour anéantir ses adversaires. Il était vêtu d'un pantalon orangé et était torse nu. Il portait aussi une drôle de coiffe le faisant passé auprès de la plupart des personnes pour un demeuré, bien qu'en fait il était tout le contraire. Il combattait et éliminait ses adversaires avec facilité depuis le début du tournoi. Cependant, il avait du mal à anéantir l'ennemi actuel, un jeune disciple d'Ecaflip. En effet, ce dernier possédait une chance inouï ! Chacune des attaques d'Alaska ne faisait aucun dommage et il se retrouvait en mauvaise posture. Les assaut répétés de Sheed, l'Ecaflip, commencèrent à fatiguer notre jeune héros qui tentait tant bien que mal de se défaire de l'emprise de son adversaire, avec du mal. Finalement, il pensa à une technique ... Pourquoi ne pas utiliser son dragonnet comme désenvouteur? Là était la solution ! Il l'invoqua en vitesse et reprit vite le poids face à Sheed, qui finit par être anéantis

Le cinquième combattant choisis par les dieux était un disciple d'Ecaflip, comme le dernier adversaire d'Alaska. Cependant, celui-ci avait une chance assez aléatoire. Mais elle lui suffisait pour annihiler chacun de ses adversaires avec brio. Il était vêtu d'un pantalon marron et son pelage était blanc. Seul un de ses yeux était cerclé de noir. Il portait dans son dos une grande griffe rose, qu'il maniait presque aussi bien que Severance, la chance en plus.

Le héros suivant quant à lui est un disciple de Crâ, maniant son arc à la perfection afin de placer des flèches capables d'anéantir d'un seul tir n'importe qui, mais aussi capable de manier ses dagues à la perfection. Il est vêtus d'une cape pourpre, d'un pantalon noir et d'un haut pourpre lui aussi. Ses cheveux sont blonds et plutôt courts. Il ne prend pas souvent le temps de les coiffer.

Le pénultième personnage était une disciple de Féca, insouciante face au danger. Elle ne prenait presque jamais le temps d'utiliser ses armures. Elle préférait foncer avant, puis réfléchir ensuite, plutôt rare pour quelqu'un ayant choisi de servir cette déesse. Elle portait une mini-jupe bleue foncé, ainsi qu'un haut de la même couleur, allant à merveille avec ses yeux eux aussi de la cette teinte saphir. Parmi les trois héros de sexe féminin, elle était sans doute la plus jolie, bien que les deux autres la suivent de près.

Enfin, pour finir cette liste, Thuata s'attarda sur le dernier personnage clef de cette quête. Leena. Une jeune disciple d'Eniripsa, qui n'avait pourtant pas la carrure pour entrer dans un tel amoncellement d'ennuis et de blessures. Pourtant, elle serait certainement très utile. En effet, sa capacité naturelle à soigner pourrait se révéler forte utile. De plus, elle n'hésitait pas à user de sa lame Fuschia pour éliminer ses adversaires à grand coup de moulinet. Sa peau était d'un noir de jais, et ses cheveux plutôt marrons clairs, coupées courts. Ses ailes translucide lui conférait un charme sublime, qu'elle utilisait lorsqu'elle le devait.

Ces huit personnages arrivèrent tous devant la vielle femme à la seconde nuit de combat, tous essoufflés et épuisés, sauf Severence qui en demandait encore. Leena dans un acte de bonté utilisa ses dernières forces pour souffler un mot d'Altruisme, soignant ainsi les blessures majeures des guerriers. Elle résista à l'horrible envie de s'écrouler par terre et resta droite et fière lorsque la vielle grand-mère leur prononça les mots suivants :

« Soyez fiers mes amis, cars vous êtes les huit Orodeths; les huit élus des Dieux pour mener à bien cette quête. Soyez en fiers, mais soyez aussi certains que ce destin ne vous sera pas de tout repos. Votre quête commencera dans deux jours. D'ici la, vous êtes ici chez vous. J'ai d'ailleurs déjà pris la liberté d'installer des chambres pour vous. »

À ces mots, Thuata leur souris, puis s'éloigna vers sa cabane ... qui était en fait un large assemblage de dédales et de passages secrets, courant à travers toute la grande forêt des Abraknydes.


Edit : Correction du chapitre 2

Laisse moi deviner... T'es en filiere L ?

Et non ! Pour tout te dire, je passe en S xD

Sympa, j'attends la suite moi !
Mais...fais attention aux petites fautes qui sont assez nombreuses.

Bon courage pour la suite .

J'ai pas relus hier je sais ^^ J'étais fatigué ^^

Edit pour moi : je peux pas transferer les fichier sur mon pc portable, je fous mes liens megaupload ici ^^

http://www.megaupload.com/?d=DW3WYUMM
http://www.megaupload.com/?d=JJ49GB00

Parfait ! Je suis fan !
J'adore trop ta façon de raconté serieux ;_;

Nouveau chapitre ! Si vous trouvez des fautes d'orthographe ou de syntaxe, ou encore qu'il vous semble que j'ai oublié une phrase, n'hésitez pas à me le dire ^^



CHAPITRE III : La mer perdue.

Après avoir pris une bonne nuit de repos, les futures légendes se levèrent au petit matin, tiraillé par une faim oppressante. Ils se rencontrèrent tous les 8, à moitié perdus dans les passages souterrains où ils s'étaient engouffrés la veille. Severance, le plus stupide du groupe, se contenta simplement de négliger de dire qu'il possédait la carte des lieux. Résultat, le petit groupe mit deux longues heures avant de se repérer et de finir par atteindre la sortie, tombant nez à nez avec Ophélia. Cette dernière semblait d'un coup plus charismatique que la veille. En effet, elle était habillée et coiffée d'une façon la rendant particulièrement magnifique. À la vue des huit personnes la scrutant, elle ne put s'empêcher de rougir.
Après un épisode de quelques secondes sans échanges quelconque, la jeune et belle demoiselle leur indiqua que la vielle femme voulait les voir au plus vite. Elle les conduit rapidement dans la grande cuisine, ou Thuata les attendait.
« Mes chères enfants. Asseyez-vous et mangez, car une longue quête vous attends. » Fit-elle, montrant une table chargée de victuailles. Les huit aventuriers s'empressèrent de dévorer les délicats mets préparés pour eux, sans se poser de questions. Le repas se passa dans l'humour et la bonne humeur, Sévérance racontant à Leena ses exploits de guerre. Cette dernière émerveillée se demandait si tous ici avaient eu de tels combats. Natalia mangeait doucement, tapis dans l'ombre de la pièce, ne cherchant pas à nouer de liens particuliers avec personnes, volant même dans la bourse de Thyrael les quelques piécettes qu'il possédait. Thuata les regardait tous, un sourire aux lèvres. Elle semblait tout voir, si bien que Natalia eut un petit vertige lorsqu'elle croisa la pupille de la vielle dame tout en étant dissimulée. Elle s'assied diligemment et continua de manger comme si rien ne s'était passé.


« Bien, je vois que vous vous êtes tous rassasiés. » Fit la prophétesse, sur un ton qui voulait clairement signifier à l'assemblée de se taire.
« Il est temps pour vous de commencer ce pourquoi vous êtes nés. La quête des oracles. Le premier des sept oracles à découvrir se situe sur une île dont les âges ont fait oublier le nom et la position. Soyez heureux que moi, je n'ai rien oublié. J'ai déjà pris soin d'appareiller un navire sur la côte d'Ass, avec des indications précises pour l'homme qui vous conduira sur l'île. Une fois arrivés, vous n'aurez plus qu'à trouver les ruines d'un temple antique, à le fouiller; et à vous emparer de l'oracle. Enfin, vous n'aurez plus qu'à revenir ici. Rien de bien compliqué, non? »
Les élus affichèrent quelques sourires et Severance ne put s'empêcher de faire part au manque d'action présent dans le plan de bataille de Thuata. Cette dernière lui sourit, puis lui demanda d'être patient, car comme le dit le proverbe, « tout vient à point à qui sait attendre ».
En fin de matinée, les huit héros accompagnés d'Ophélia venait de mettre les voiles en direction d'une île inconnue de tous.
Le voyage suivait son cour long et ennuyeux, laissant la petite troupe observer un paysage sublime pour les uns, ou horrible pour les autres. Natalia s'était encore isolée du groupe, respirant l'air salé de la mer tout en observant les vaguelettes au loin. Cet endroit lui rappelait son enfance, bien qu'elle ne savait pas franchement pourquoi. Un banc de dauphins passa à côté du navire, arrachant, malgré elle, un sourire sur son visage d'habitude impassible. Thyrael s'approcha d'elle, se postant à ses côtés en observant lui aussi le somptueux panorama.


« C'est magnifique, non? » Lui lança-t-il, voulant seulement voir la réaction qu'elle aurait.

« J'ai connus mieux, mais ça reste beau oui. » Répondit-elle simplement, ne cherchant pas à lancer de sujet particulier.

« Depuis que nous sommes tous les huit, je ne t'ai pas vue approcher personne, tu as peur de leur réaction vis-à-vis de toi? »

« Non, pas du tout, on pourrait me qualifier de solitaire. D'ailleurs, je ne suis pas du tout partisane des beuveries entre amis et des histoires à dormir debout de ce stupide Iop. » Répliqua Natalia, sans trop s'intéresser à la première personne à qui elle parlait depuis qu'elle était entrée dans cette confrérie. La réponse qu'elle donna au disciple du sang le fit sourire. Les histoires de Séverance avaient beaux être à dormir debout, c'était sans doute le reflet de la réalité. Thyrael ajouta simplement qu'elle était la bienvenue parmi la petite troupe et qu'elle pouvait venir quand elle voulait, lui assurant que la vie de groupe était bien plus plaisante que celle d'aventurier Solitaire. À ces mots, il s'écarta en lui adressant un clin d'œil et retourna à son tonneau de bière.

Ce ne fut qu'à l'aurore du cinquième jours de navigation que les ennuis commencèrent à arriver. Le petit navire venait de dépasser les mers explorées par les aventurier d'Amakna. Séverance était aux aguets, observant le moindre petit mouvement à la surface de l'eau. D'après son grand-père, les mères inconnues pouvaient être peuplés de la race ayant succédée aux dragons. Leena était restée près de lui, observant elle aussi l'eau peuplée de milliers de créatures inconnues. D'ailleurs, ce fut la première à remarquer une petite tâche sombre au loin.

La petite troupe se regroupa sur le pont et observa l'ombre au loin, se demandant ce qui pouvait bien produire une telle zone noire. La réponse leur vint vite. En effet, crevant la surface de l'eau, une créature difforme sortit de son abri. Elle était énorme, possédait des centaines d'yeux et des tentacules. Sa peau ressemblait plus à des ordure entassées et trempée plutôt qu'aux traditionnelles écailles des poissons, couleur forme et odeur comprises. L'horreur sans nom s'approchait d'eux à une vitesse incalculable. D'ici quelques secondes, elle aurait percutés le bateau. Thyrael fut le plus rapide à réagir. Il prit de l'élan et courut en direction de la chose. Il sauta par-dessus le navire et s'agrippa tant bien que mal à la peau glissante de la créature. Il réussit à lui grimper sur son crâne et lui rentra son bâton dans les yeux, de sorte à la déstabiliser pendant que ses compagnons trouvaient un moyen de détruire la chose. Il ne se l'avouait pas, mais il voulait aussi réussir à impressionner Natalia. Severance imita son compagnon et sauta vers la créature ... Trébuchant lamentablement sur le pont et se blessant au genou. Leena s'empressa de courir vers lui et de soigner son éraflure. Drake et Berserker combinaient leur forces pour détruire la créature de loin. Les flèches et les cartes semblaient être assez efficaces face à l'abomination qui luttait pour déloger Thyrael du haut de son crâne visqueux. D'un rapide mouvement de tête de haut en bas, la créature parvint à envoyer en l'air Thyrael. Ce dernier ne comprit que trop tard ce qui lui arrivait. La chose ouvrit grand sa gueule, découvrant une grande rangée de dents pointues. Thyrael fut avalé tout rond, face aux yeux de ses compagnons qui redoublaient d'ardeur pour tuer la bête sous-marine.

Soudain, le « monstre bourbe » s'arrêta de bouger, ainsi que les aventuriers. Tous observaient la chose qui semblait mal en point. Un large trou se perça au milieu de son corps, découvrant Thyrael, pleins d'un liquide verdâtre qui empestait la mort. Le disciple sanglant s'exclama : « Eh bah putain, si on m'avait dit que je ferais un tour dans un bide de monstre, j'aurais donné ma place ! ». Puis il sauta à l'eau, afin d'enlever la chose qui le recouvrait. Le monstre suite à cette attaque avait fait demi-tour en entonnant ce qui ressemblait à un cri d'agonie.

De retour sur le bateau, Drake demanda subitement : « Au fait, où est Alaska? » Une vague réponse se fit entendre du fond de la cale. Il avait le mal de mer ...